1 rendez-vous, 2 décembre, 3 plateaux : première soirée Sabotage ! Avec leur post-punk nerveux, les Britishs d'Egyptian Blue incarnent la relève de la scène rock anglaise. Quelques mots pour les décrire ? Ceux du chanteur des IDLES, Joe Talbot, sont bien mesurés : « They're fucking sick » ! Et ce n’est pas avec Gwendoline, le duo shlag wave rennais au chanté-parlé percutant, qu’on retrouvera l’équilibre. Ni avec les NØNNE de Touraine (loin d’être sages) qui seront de la partie pour asséner un rock frontal et incisif.
On vous prépare aussi quelques surprises dans Le Temps Machine ! Ce qu'on peut déjà vous dire : un coin tatouage avec Blouddy, un stand friperie tenu par ctmieuxavant et un espace pour Ceinture Noire où il vendra l'affiche de la soirée imprimée en cyanotype (tirage en édition limitée).
Affiche signée CEINTURE NOIRE réalisée en cyanotype. En vente sur place au format A3 (édition limitée).
Egyptian Blue est un quartet anglais basé à Brighton, vivier britannique incontestable de la musique. Inspiré par des groupes tels que Gang of Four, Preoccupations ou Foals pour les plus jeunes, Egyptian Blue propose une musique aux sonorités saccadées, typiques du post-punk, avec une approche lyrique déroutante. En bref, pour reprendre les mots du chanteur des IDLES, Joe Talbot, "they’re fucking sick". Leur projet sait faire bouger les mentalités… et le public !
Après deux EP acclamés par la critique, 2023 sera l’année de leur premier album, toujours produit par le label Yala! Records.
“Think Wire meets Joy Division distorted through an LSD wash.” So Young Magazine
“Darkly euphoric.” DIY
Un duo rennais qui a sans doute puisé son inspiration au comptoir d’un troquet, dans l’amertume d’une bière plate. Entre désespoir et désœuvrement, le tandem piège son désenchantement dans une new wave magnétique comme on reste prisonnier des glaces. Entre autodérision, sarcasmes et je-m’en-foutisme générationnel, Gwendoline se révèle profondément humain. De la poésie punk.
Une combinaison inédite de légèreté et de noirceur, du féminin et du masculin, du poétique et du vulgaire, de l’introverti et de l’extraverti, de l’underground et du populaire.
Abreuvé par la musique des années 90 et 2000, NØNNE a digéré la mélancolie de The Cure, l’hyperactivité des Foals et le mordant des premières heures des Smashing Pumpkins.
Fort·es de leurs propres expériences scéniques (ÉPHÈBE, GRANDE), le groupe tourangeau assène un rock frontal. Leurs refrains fédérateurs sont des appels au choc des corps et à s’époumoner.
Sur cette musique incisive mais délibérément pop, la voix du chanteur est tendue, au service de textes bruts. Il y est question de lutte, d’amour et de désarroi. Face à un monde qui s’apprête à plonger, NØNNE propose de partager sa rage en une expérience collective de danse effrénée.