Une soirée dédiée à la scène musicale tourangelle qui récompensera quelques nominés du cru 2021, tous genres musicaux confondus.
Comme chaque année, l'affiche a été réalisée par une étudiante de l'école Brassart, suite à un concours réalisé en interne. Un grand merci à Célia Balligand, lauréate 2022 !
REMISE DES PRIX
- Prix des Médiathèques : l’album ou EP de l’année (10 nommés)
- Prix des lecteurs de 37 degrés : le clip de l’année
(5 nommés)
- Prix du jury : le groupe ou l’artiste solo de l’année
(5 nommés)
UN PEU D’HISTOIRE
Différentes structures locales défendent la scène musicale du 37, de diverses manières et parfois depuis fort longtemps.
En 2015, les Médiathèques de Tours, Chambray, Joué-lès-Tours, La Riche et St-Avertin initient un palmarès "Cuvée scène locale" pour mettre en avant les albums des artistes locaux, tous genres confondus.
En 2016, à l’initiative du web magazine 37 degrés et de ces médiathèques, il est décidé d’organiser une grande soirée au Temps Machine (qui devient partenaire) pour remettre ce Prix des Médiathèques et deux autres prix : le Prix des lecteurs de 37 degrés pour les meilleurs clips, ainsi que le Prix du Jury qui récompense le groupe le plus marquant de l'année passée (pour son univers musical, son jeu de scène, sa créativité etc).
Radio Campus Tours et PROG l’Agenda Culturel rejoignent alors la fine équipe pour le Prix du Jury et comme partenaires média et institutionnels.
Jumbo System nous plonge dans l’univers de l’afrobeat, style musical, qui, rappelons-le, a été popularisé en Afrique dans les années 70, au carrefour du jazz, du funk, du highlife et des musiques traditionnelles.
Un joyeux parcours à travers les grands standards du genre, les compositions du groupe et la redécouverte de petites pépites musicales dénichées par leurs soins. Le tout servi par une formation d’une incroyable énergie sonore, au service du groove et de la fête !
Bae de Goji, c’est l’identité alternative de Charles-Elie (ex - LVOE) son pseudo sur les internets et désormais l’alias qu’il utilise pour signer ses crimes soniques. Seul·e sur scène et entouré·e de ses guitares, de ses backtrings tracks, on joue d’une voix suave pour y convoquer des riffs acides et invoquer quelques spectres.
Des guitares dissonantes, et des mélodies de titres pop.
Des samples comme des souvenirs, analogiques et entêtants.
Des chansons sur les amours volatiles, les nuits interlopes et les parfums obscènes.
Un espace sonore qui oscille (439Hz) entre Sonic Youth, St. Vincent, The Kills, Spacemen 3 & The Jesus & Mary Chain.
